lundi 26 juillet 2010

Pour les vacanciers qui font un saut en Ardèche méridionale, une carte de rando pédestre en norme co; en vente au magasin de vélo AMC7 à Maisonneuve, près de Casteljau !!! http://www.amc7.com/

Bonne rando !!!!!!
bises et caresses à l'oeil

mercredi 21 juillet 2010

un caméléon dans le Beaufortain

La journée s'annonce dure, Debout 4 heure du mat pour aller bosser puis 13H30 direction la savoie. Pour prendre le départ de l Ultra trail du Beaufortain 103 km pour 6000m de deniv

Arrivée à Queige en fin de journée il fait trés chaud, retrait des dossards, controle des sac et le fameux Breifing à 19H.
La poisse, le pression monte vraiment, le directeur de course nous refait le detail de la course et là le descriptif nous accable tous rien à voir avec le descriptif de course du depart, Véronique pali à chaques mots de plus, je dis rien mais j'en pense pas moins et les deux mots de la fin sont attention au balisage il a été fait avec de la pleinture biodégradable il y a quinze jours et elle ne se voit plus trop et le top du top il annonce des orages en milieu de nuit super pour un départ à 4heure du mat.
En bref on est sorti de là complètement la boule à l'estomac
Véronique a passé une nuit blanche mais moi j'ai dormi, il faut dire que ça fait une semaine qu'elle me fait des piqures pour soulager ma syathique.

Mais bon on est assez confiant, les orage annoncés ne sont pas au rendez vous alors tout va mieux.
parc de départ





On part bon dernier car mon IPOD veut pads se mettre en marche










Et parti 4 heure du mat pour 8,5 km pour 1500+ d'entrée ça calme 2Heures d'ascension mais les jambes sont là .

Le paysage est magnifique à droite vue sur Alberville, coté gauche Les montagne que nous allons franchir.
Km 17 1er ravito , il fait trés chaud, les jambes vont bien, pas de douleur pour le moment, je suis dans les 100 premier, j'ai ratrappé mon faux départ  donc c'est reparti                                                                                        
pour moi vers le Cormet d'areches pour Véronique le refuge du presset.

J'attaque la descente vers le barrage Saint Guerin à l'aise mais impossible de vraiment courrir les mono traces sont trés techniques et abruptes donc pas question de gagner du temps sur la descente il faut etre trés vigilant les sentiers sont étroits et à flanc de montagne mais bon je double tout le temps, arrivée vers le St Guerrin c'est roulant le long du lac je fais donc le chemin avec un coureur recupérer dans la descente, on discute pendant un moment et puis il me dit qu'il doit lever le pied car il a des crampes, je lui donne des medoc pour les crampes puis on ralentit le pas ensemble.
On remonte vers le Cormet d'Arèches et là d'un seul coup un coup de poignard dans la fesse, je coutinue à courrir mais la douleur devient plus intense, je m'arrete au ravito un moment je dis au mec de continuer car je pense arreter, il reste avec moi un moment pour voir si je redemarerais et puis finalement j'ai pris la decision d'arreter, la boule au ventre mais le Mont Blanc est dans 5 semaines c'est 8 mois de preparation , de sacrifice .Le probleme c'est que les portable passent pas et donc Véronique continue son ascension sans savoir que j'avais arrété.

Vue du lac de Roselend vers la Pierra Menta
Sans savoir ce qui était en train de se passer je continuais mon petit bonhomme de chemin, parcours difficile mais un  paysage à couper le souffle


Mais le souffle allait réellement etre coupé d'un coup je sens le froid venir tout doucement, je fais une halte pour me retourner et profiter du paysage et là stupeur je voyais plus rien en trois minute le brouillard avait envahi la vallée, je traine pas, je vois à peine le semblant de chemin tracé dans les caillous

La neige est meme au rendez vous. le froid commence à m'envahir, pourtant l'ascension est dure, tant pis je m'arrete à nouveau pour mettre mes manchettes et manger un petit bout

Au col du Besson le brouillard c'est levé juste le temps de voir le refuge du presset avant de revenir de plus belle. J'attend un  peu le temps de boire de reprendre un peu mon souffle, je me dis que Bruno ne doit pas etre loin alors autant attendre là.

Et là les coureurs défilaient et lui toujours pas, le doute s'instale alors je vais au point de pointage histoire de me rassurer ou peut etre ne l'ai je pas vu passer et là un gentil monsieur me dit" non il n'est pas passer je vais me renseigne auprés des autres pointages et là au bout de 30 min je finis par savoir qu'il avait abandonné mais ou et dans quel état personne pouvait me le dire le telephone passe pas et leur talki walkie non plus je decide donc de rebrousser chemin pour rejoindre le point de depart pour avoir plus de renseignement.


Moi qui ne descend pas bien je vous garanti que là je suis vite descendue, traversée trois torrents, les neivés pour enfin retrouver TROIS heures aprés ma moitié.

Superbe expérience malgrés tout, une petite deception de ne pas avoir fini, mais plus de peur que de mal ( mal si car mais articulations on mal encaissées la dernière descente) et une chose qui est sure je ne le lacherais plus des yeux.
Vu la dégradation de la météo en fin aprem pluie brouillard et la difficultée du parcours il a mieux vallu en rester là, cela reste un trail magnifique en tant qu'objectif dans l'année pas pour un trail de préparation.
Les derniers ont fini en 26 heures et 40% ont abandonné.

Pour nous la page c'est tounée pour continuer la préparation pour le Mont Blanc dans les meilleures conditions encore trois semaines et puis ensuite repos jusqu'au jour J.

Bonne vacances à tous

La Prune et Véronique

lundi 19 juillet 2010

Les quadriceps en carafe

Avec JP, on s'est fait le trail du Caroux, 32 km et D+/- 2200. Une petite promenade du dimanche matin...

C'est la troisième fois que JP revient et il me me briefe: « tu passes la première montée en marchant, tu attaques pas trop dans la descente, ensuite, tu peux monter la deuxième en courant et dérouler !OK mon JP...

Départ de Mons la trivalle, avec un petit kilomètre pour étirer le troupeau. Direction les gorges de l'Héric. Une nana souffle comme une loco, après 500 mètres de faux plat montant. Ca sent la journée galère pour elle !

On rentre très vite dans le vif du sujet avec une bonne grosse montée: 900 m de dénivelé. On passe tous en mode marche rapide, sauf quelques uns qui relancent en courant entre deux virages. Je les laisse faire et, en marchant, j'en double plusieurs. JP a décidé de monter tranquille pour attaquer sur la seconde montée et on se quitte rapidement.

Au sommet, on s'est bien réchauffé. Les coureurs du 20 km disparaissent à gauche et d'un coup on a beaucoup plus d'espace. On se retrouve à 3. J'accélère un peu et lâche les deux. On passe des dalles hyper raides. Pas le moment de regarder le paysage... On prend 900 négatifs environ. Je reviens sur 3 mecs, passe, puis je les sens revenir. Ils tentent de me repasser. Un petit coup de boost et adios. Un nouveau groupe devant. Je passe et on se retrouve avec Michel, l'organisateur de Lunas. Il descend sur un bon rythme. Premier ravito et on embraye direct sur la remontée. Le plat, ici connait pas...

Au bout de 300 mètres, j'ai un bon coup de moins bien. Michel part avec un autre coureur. Mode marche très moyennement rapide pour moi !!! C'est ici qu'il faut attaquer JP ? Je la sens pas trop sa tactique là... Je me fais reprendre par plusieurs coureurs dont un qui a des espèces de piquets dans son camel. Le paysage est magnifique, mais on se prend la cagnasse dés qu'on sort de la forêt. Il doit faire un bon 60°c. A droite, on entend un torrent. Je sors du balisage pour aller m'asperger. Du bonheur a l'état pur. La casquette mouillée ça te remonte un moral.

Deuxième ravito: ils nous proposent de la saucisse grillée ! Je fais l'impasse mais JP se laissera tenter. Ca monte toujours, mais on a quitté la forêt. Le paysage est superbe. Au loin on voit la mer. Les collines environnantes sont violettes de fleurs de bruyères. Certains verrons des mouflons. Moi je vois plutôt les chaussures de mon nouveau copain. On est ensemble depuis la montée. Derrière nous, une nana avec un bandeau de Catalogne fait l'effort pour revenir. Fin de la montée, on déroule sur le plateau. Mon pote me lâche. On traverse des tourbières, sur un chemin en bois. Tu trouves pas qu'on se croirait en Corse JP ?

A partir de maintenant, je cours environ une heure et demi tout seul en pleine nature. Après le plateau, ça redescend et ça commence à sentir l'écurie. J'ai les quadriceps qui commencent à ne plus être trop d'accord. Ca devient vraiment dur. C'est le moment ou le mental commence à être vraiment utile. Au dernier ravito, je rattrape mon copain d'un jour, deux-trois types trainaillent, la Catalane revient. Je repars quasiment tout de suite. Envie d'en finir. Un dernier gros coup de cul en montée, puis en roue libre jusqu'à l'arrivée. Enfin, c'est ce qu'on se dit pour se motiver. Le coup de cul est bien costaud. On reprend et dépose «piquets de tente». Il fait du surplace l'ami. On est quatre mecs et la Catalane qui ne lâche pas. Je tente deux vannes mais on est tellement cramé qu'on a plus la force de rigoler (ou alors c'était pas drôle). Enfin le dernier col. Je voyais une petite descente bien peinard. En fait c'est un faux plat montant. Je repars en courant et largue tout le monde. Enfin la descente. Sauf qu'avant, on a vu le village d'arrivée. Tout en bas dans la vallée. Il va falloir se taper une big descente. Les quadriceps sont proches de la grève. J'accélère pour en finir. Aux premières maisons, retour sur le bitume. Avec très forte pente. Ca me défonce les cuisses, mais je speede encore plus. Je reprend un type qui se fini à l'arrache. Enfin la ligne. Suivie d'une minute que je passe accroché à la table de pointage. J'oscille entre m'écrouler d'un coup, aller boire un coca ou faire une grosse gerbe.. J'opte finalement pour la seconde solution: un litre de coca.

Je termine 39ème (sur 200) en 4h30 . Le vainqueur a mis 3h20 !!!

Pendant une heure, j'attends mon JP et c'est un défilé de sprinteurs au ralenti. Ca sent la surchauffe interne. Ils passent mais ne nous voient même pas: un oeil en couille de mouette et l'autre fixé sur la ligne d'arrivée. JP a été plus malin, il a bâché au dernier ravito.

Christophe from canaping

vendredi 16 juillet 2010

extinction prezidentielle


Comme quoi faut toujours se méfier la nuit des grosses bites bien dure de 30 cm !

Mais non j'ai pas viré ma cutie par contre , j'en ai pris une bonne et c'est pas glorieux ! me suis donc pris une borne en béton sur une piste cyclable en allant voir le feu d'artifice à montpellier!
petit passage aux urgences ce matin pour voir si y avait rien de cassé , c'est bon de ce coté mais j'ai l'épaule immobilisée pour une semaine pour commencer ... Grrrrr ...Ca va être cool les vacances !



j'ai eu juste le temps avant çà, de faire une sortie de 100 bornes sur route avec mon père ... heu j'espère rouler comme çà à 73 ans , parce que j'étais pas le plus frais à l'arrivée !


sinon une petite prospection canyon du coté du Vigan qui m'a fait découvrir qq jolis endroits vers Arrigas
Mais aussi des choses bien crados après la station d'épuration du village .... ambiance jus de vaisselle bien gras .... beurk !


A+ mes léons ...


( là je fatigue à taper de la main gauche !)

mardi 13 juillet 2010

IDEE DE CHIOTTES.. par le team CORNEZ...

Chez nous, dans les toilettes, est affichée au mur la carte IGN en relief Causses-Cevennes... alors évidement à force de fréquenter ce lieu, voire de si attarder un peu, nous avions l'impression de bien connaître ces massifs et vallées.. restait plus qu'à aller y pédaler un peu...
Les petits en vacances chez les grands parents, ni une ni deux, j'y passe une soirée, mon ordi sur les genoux pour tracer un parcours sympa que je charge sur le gps...
Départ d'Usclas du Bosc (prés du salagou), col du vent, traversée du causse du Larzac, descente dans les gorges de la vis par le baume d'auriol, campestre et luc, pic saint guiral, montagne du Lingas, l'éspérou, l'aigoual, aire de cote, barres des cevennes, col de jalcreste, pont de montvert, col de finiel, les crètes des monts lozère, col de montmirat, sauveterre et son causse, saint énimie, causse méjean, col de perjuret, meyrues, lanuejol, causse noir, nant par les gorges du trevezel, retour sur le larzac à la couvertoirade puis la vacquerie et descente à la maison..... facile assis sur le trone !!!

Nous attelons notre remorque monoroue made in china achetée 50 € sur ebay (pale copie du bob yak !) que nous remplissons du plus léger à notre disposition pour bivouaquer... pas de superflu !!
Les 25 kg de notre attelage peuvent facilement passer d'un vélo à l'autre et la parité que ces dames réclament souvent ne me pose pas de problème !
Première étape au bord du lac des pises: 83 kils et 2250 m de d+...
Le premier single chaotique me permet de tester la remorque...c'est sympa en descente la charge pousse..!
bilan deux soudures explosées ! un autochtone tombé du ciel en plein désert nous ressoude ça de main de maître... plus facile de trouver un poste à souder que du pain !

un petit bain, une soupe de pâte et au lit... enfin si l'on peut dire..je suis nettement plus a l'aise avec les pieds qui dépassent de notre micro tente !

nous dormons sur les rives du lac malmenées par les sangliers... tout notre matériel est pendu dans les arbres pour la nuit et nous faisons une barrière psychologique avec les vélo ! bonne nuit !
Nous enquillons l'aigoual par un un record de température à 9 h le matin puis descente sur aire de cote... le dfci roule fort,

donc... petite pause menuiserie pour réparer une soudure !

Plein cagnard... ça chauffe, nous bivouaquons dans un enclos à mouton peu après le col de Jalcreste, perdu dans la pampa mais avec 4 grillages autour de nous qui nous permettent de croire que les sangliers ne viendront pas nous lécher les pieds !80 kils
Réveil matinal... une bosse, puis deux puis c'est la montée vers les monts lozére, on évite notre tracé initial sur le GR droit dans le pentu pour monter par la route... bonne idée, au moins on est sur les vélos ! puis nous consommons le fruit défendu... rouler sur les "monts Lo", pelouse alpestre, petit single... plaisir interdit cause de parc national... on s'en aperçoit en le quittant justement à l'approche du col de montmirat...

Sauveterre ou nous faisons un peu de macramé avec du fil de fer pour réparer une 4 ième soudure ! et nuit au camping à Saint énimie ! 80 kils et 2400 D+ petit repas frugal... 6 parts d'aligot pour deux, accompagnées du talon (et plus !) du jambon !
Réveil puis bonne bosse pour arriver sur le causse Méjean,

traversée par les chemins et descente au taquet sur meyrues, ravito au marché..comme en course: on picore sur chaque étal !
Nous envisageons d'atteindre la couvertoirade mais le tonnerre gronde et nous demandons l'hospitalité dans une ferme a Cazejourdes.. nous plantons la tente dans le hangar à l'abri de l'orage qui ne nous épargne pas ! 86 kils

dernière journée light, une cinquantaine dont 20 de descente pour un bon plouf dans la piscine...
Joli tour donc... 378 kilomètres, 8500D+, 4 soudures et pleins de belles images en tête !
Maintenant les toilettes ont pris une autre dimension !!
Stef

PS: nous vendons une remorque monoroue, peu servie, juste 5 jours !!! C'est pas cher !!

dimanche 11 juillet 2010

Les hauts cantons



Profitant d'un passage à ST Chinian pour de la carto,une échappée vers la fraîcheur du Caroux et une baignade dans les gorges d'Héric!!!!!!!
bises et caresses à l'oeil
Oliv

vendredi 9 juillet 2010

lecture d'été

c'est un peu long à charger ...
mais le nouveau numéro d' endorphinmag   
est à lire sur votre ordi préféré



( avec des Raids, de la CO , on y reparle des pélerins ! , du trail , du marathon , et meme du canicross  )

jeudi 8 juillet 2010

caméleon ... esque

Avec la torpeur estivale 
un petit retour arrière sur 2 instantanés ou l'on constate  que le caméléon est d'une grande polyvalence :
il sait faire la cuisine ... et la vaisselle !

dimanche 4 juillet 2010

Il fait trop chaud pour rouler à Montpellier..

... alors je suis aller au Caylar
                                              par FranCO

et en ce beau dimanche de canicule, j'ai roulé à la fraiche


j'avais choisi une trace sur Utagawa:
http://www.utagawavtt.com/randonnee-vtt-gps?topo=2266
mais il y a aussi celle là, que vous pouvez rajouter:

très joli paysages pour un circuit roulant, une petite brise rafraichissante, mis à part la remontée de la vallée de la Sorgues
comme un gland j'ai pris la boucle dans le mauvais sens: j'ai raté LA descente de la sortie
tant pis, ça m'a fait un bon entrainement de poussé le VTT dans le GR

départ 8h, retour au Caylar à 11h30,
maison à 12h30

quand ça roule bien 45 min suffisent depuis Montpellier

C'est sûr , j'y retournerais pour rouler à la fraiche, et faire l'autre parcours, qui reste sur le causse, et donc évite le cagnard!

En plus la végétation et le relief karstique est splendie, j'ai vu le gouffre du Mas Raynal (un rappel de 100m, plein gaz), deux chevreuils, et plein de lapins...

Escapade pyrénéenne

Bises et caresses à l'oeil
Oliv

vendredi 2 juillet 2010

Entrainement aux 4000 Marches

Vendredi 7h30 départ de chez JP avec Chris et Michel, nous récuperons cricri à ganges direction Valleraugues.

9h15 il fait déja trés chaud nous entamons l'ascension en marchand l'allure est soutenue mais déja cricri a des fourmis dans les jambes et se met a trottiner. Je réussi a retenir chris quelques minutes mais pas plus. Avec Michel nous continuons alterner marche course et au détour d'un passage plus technique nous revenons sur nos caméléons.Petite halte a la traversée de l'hérault cricri en profite pour s'échapper il atteindra le sommet en 1H25. Le reste la troupe le rejoindra quelques minutes plus tard.

Pause et photos oblige un petit coup d'oeil sur le paysage dont je me lasse pas et nous voila repartis. Cricri se livre a son exercice favori la descente et nous le reverrons plus.







Chris a quelques soucis mécanique elle nous parle d'essuis glace "comment  ???t' a envie d'une glace????" petite halte technique massage du tenseur et c'est reparti nous finirons en courant jusqu'au bout.
11H45 nous rejoingnons cricri a l'ombre a l'entrée du village.


 Le temps de se débarbouiller et de s'installer en terrasse d'un café pour s'envoyer une puis deux  mousses.





 Grand  moment de convivialité, un bon entrainement technique, physique, bonnes sensations,  RTT bien négocié, bref a refaire.